Coquilles, coquillages et crustacés,…
Peut-être en avez-vous entendu parler. Vous en voyez régulièrement, sans le savoir. Elles sont partout dans la Nature. Mais, nous avons oublié leur signification précieuse au fil du temps : je vais vous parler de l’ONDE DE FORME (OF) en plusieurs étapes.
La 1ère s’intéressera à la COQUILLE ST JACQUES (CStJ), succulente dans votre assiette, mais pas que !
Définition de l’OF : C’est une énergie vibratoire qui influence positivement notre organisme, donc, notre bien-être. Elle agit sur notre physique, notre psychisme. Elle peut redynamiser un être, un lieu, un végétal, … Elle joue un rôle de protection.
La Coquille St Jacques : Elle a une forme ronde et possède des rayons réguliers. Les premiers chercheurs en radionique (ondes électromagnétiques) ont été subjugués par ses effets étonnants. Chaque forme de vie possède sa propre énergie et son rayonnement énergétique. La CStJ est de ces formes aux émissions puissantes.
Depuis peu, elle revient au goût du jour et on s’y intéresse de plus en plus : on la retrouve dans les églises (les bénitiers sont souvent en forme de coquille, idem pour les fonds baptismaux où elles garantissent la qualité de l’eau), garnissent les façades.
Les OF agissent comme protection. Elles recèlent de nombreux principes de géométrie sacrée, d’harmonie universelle (que l’on retrouve également dans la disposition des pétales des fleurs, par ex.).
La CStJ peut émettre jusqu’à 30.000 UB (unité Bovin – mesure radionique des taux vibratoires).
Quelques utilisations :
– Elle purifie votre maison (posez la coquille côté plat vers le Nord)
– Elle améliore le sommeil (placez la sous votre lit)
– Elle recharge et purifie vos objets anciens, vos pierres, stimule vos plantes, l’eau que vous buvez (comme la Fleur de Vie, autre OF), redynamise vos aliments,…
Sur les chemins de Compostelle
La CStJ s’y est imposée depuis toujours pour protéger les pèlerins, les guider. On la retrouve à Lessines, non loin de l’entrée de la Cour des Espagnols. Elle décore le sac, le chapeau, la cape, le bâton (appelé le Bourdon) du marcheur. On la personnalise en la peignant, … Les premiers pèlerins la ramassaient le long des côtes de la Galice (où elles abondent) comme preuve de leur long cheminement vers le lieu saint.
La légende raconte que le cheval et le corps de l’Apôtre Jacques furent ramenés en Espagne, en bateau. Lors de l’Accostage, le cheval prit peur et tomba à l’eau, emportant avec lui la précieuse relique. Un miracle se produisit : les 2 protagonistes furent sauvés, indemnes mais… couverts de CStJ.
Voilà, vous en savez davantage sur la CStJ.
Je suis certaine que dorénavant, vous regarderez d’un autre œil, la coquille et son contenu qui se trouveront dans votre assiette…