En ce centenaire commémoratif de la 1ère guerre mondiale, le moment semble oppportun pour se souvenir de quelques-uns de nos aïeux comme Virgile Beerens. Cet acrenois né à Everbecq le 26 octobre 1877, fut espion pour le compte d’un service de renseignements anglo-belge.
Arrêté en 1917, il fut incarcéré à la prison de Vilvorde (het Tuchthuis) et condamné à mort. Grâce à l’intercession de la duchesse d’Arenberg, sa peine fut commuée en travaux forcés à perpétuité. Il fut libéré le 11 novembre 1918, lors de l’Armistice. Virgile Beerens mourut à Anderlecht le 4 décembre 1958.
Avant 1918, cette rue de Deux-Acren s’appelait FRERAT du nom d’une ferme qui n’existe plus aujourd’hui.